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3. LE TEMPLE DE JERUSALEM

Ce monument, très utile pour les grandes assemblées, est une évocation lointaine du Temple de Jérusalem. D’où son nom, le temple. Il a été construit pour le jubilé de la Rédemption en 1933. Il est l’œuvre du père Henri Daniel, montfortain, de même que les autres monuments de la même facture en béton armé…

Le vrai temple de Jérusalem, dont il reste le mur des lamentations, était entouré de plusieurs grands cours ou parvis, et était divisé en trois parties : le vestibule, le Lieu Saint, et le Saint des Saints…Il est inutile de vouloir  chercher ici trop de ressemblances avec le vrai temple.

L’attention se porte sur le lieu central. La fresque au-dessus de l’autel réfèrent aux symboles de l’Eucharistie : l’Agneau pascal de la nouvelle Alliance, le Livre de l’ancienne Alliance, les gerbes de blé, les branches de vigne portant du raisin, les anges en adoration, etc.

La grande fresque du haut représente le recouvrement de l’enfant Jésus au Temple lorsqu’il avait 12 ans. C’est le cinquième mystère du rosaire (des mystères joyeux).

Les deux fresques de gauche et de droite sont des scènes du quatrième mystère du rosaire : la présentation de l’enfant Jésus au temple,

et les bénédictions des vieillards Siméon et Anne qui ont des paroles prophétiques pour Jésus et  Marie.

Puis il y a des scènes qui ont eu lieu au Temple ou dans les environs. Sur le côté très à gauche :

Jésus et la femme adultère.

.

Jésus se lamente sur Jérusalem.

Puis : l’entrée de Jésus à Jérusalem.

Sur la droite : l’obole de la pauvre veuve ;

l’impôt dû à César.

Jésus chasse les vendeurs du temple .